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Re: Il faut que Linux-Quebec existe!




"marco" <[email protected]> wrote in message
news:p05100305b828a55638f2@[192.168.0.5]...


>Je ne comprend pas bien. Et je m'excuse si mr Dagenais pensait
>pouvoir dire, "demerdez vous  je n'interviendrais pas, je me garde
>l'organisation des rencontres techniques et les installes fest et je
>vous laisse le loisir d'organiser la bureaucratie..."
>Non, je ne comprend pas. Qui sont "les interressés" ?

«Les intéressés», c'est toi, c'est moi, c'est Nicolas, ce sont ceux qui ont
du temps à perdre avec la démocratie.

>>Les autres coordonnateurs auxquels j'ai pu en parler n'avaient pas
>>d'objection.

>Qui sont ils pour eventuellement avoir une objection ?
>Je demande ça parce qu'apparement il y a une organisation... Un
>bureau noir où certains "interressés" donnent des objections à ds
>projets... Où donnent leur accord... Qu'ils viennent le dire !

Une fois par année, «Mr Dagenais», comme tu dis, lance un appel à tous ceux
qui veulent participer à L-Q. Et, à partir de là, se forme un petit club
dont personne ne connaît la composition(1) et qui ne fait jamais part de ses
activités.

(1) Remarque qu'il doit y avoir, quelque part, un message qui donne la
composition de ce comité.

Lorsque j'étais chez CAM, j'ai participé à ce genre de petit club privé,
alors organisé, pourrait-on dire, par le clone parfait de «Mr Dagenais». On
appelait ça un comité d'usagers. Après quelques réunions, je me suis aperçu
que c'était complètement bidon.

Ne pouvaient être pris en considération que les sujets qui se trouvaient sur
la table. Si l'on désirait parler de l'à-propos de faire bénéficier les
membres des exemptions d'impôt -- pour de la formation, par exemple,
ou pour organiser des réunions annuelles un peu plus swingnantes -- on se
faisait dire qu'on était hors sujet. CAM était un OSBL qui devait avant tout
bénéficier à d'autres OSBL ou à des écoles, et la nature précise de ces
négociations ne pouvait descendre jusqu'à nous. Il y avait d'autres comités
au-dessus du comité. C'était un monde organisé dans le style «Le
Prisonnier», si tu veux. Un jour, on a appris que NT était entré chez CAM,
et nous n'en avions jamais entendu parler. Mais les drones sur le comité
étaient toujours satisfaits de participer au «secret».

Mettons que je n'ai guère prisé l'expérience. Je n'ai pas été long à
dénoncer la vacuité de ce comité et je me suis juré de ne jamais plus
participer aux comités où on maintient le secret sous prétexte que le bruit
s'élevant de la plèbe nuirait aux activités: quand un comité s'occupe de la
tâche qui lui est confiée, le bruit des gueulards se dissipe très vite.

Disons-le carrément, c'est le genre d'organisation qui m'écoeure carrément.
Quant à moi, je ne tolérerais la présence de Mr Dagenais que dans la mesure
où il serait prêt à fonctionner de la façon la plus ouverte, et même au
sujet des réunions techniques mensuelles.

GP