La réunion débute lorsque les personnes présentes terminent leur repas, à 19h45.
La campagne de financement a été très fructueuse. L'objectif de 235$ a été atteint très rapidement, ce qui étonne Maxime. Marco, en charge du design du signet publicitaire, affirme qu'il n'a pas beaucoup de temps à consacrer au projet ces temps-ci. De plus, le manque de lignes directrices le ralentit. Les personnes présentes s'entendent sur les définitions suivantes: d'un côté apparaîtront les textes d'introduction dans les deux langues, et l'autre côté contiendra la liste des LUGs, avec description en français lorsque le LUG est principalement francophone, et en anglais lorsque le LUG est principalement anglophone.
Il avait été proposé lors d'une réunion antérieure d'organiser une série d'ateliers de formations, suivant l'example du MLUG avec ses Firestarters. Étant donné que le CRIM demande à ce qu'un organisateur de Linux-Québec soit présent à 17h00, soit 1h00 avant le début de la présentation, il serait possible de profiter de ce temps pour tenir des ateliers. Toutefois, tous s'entendent sur le fait que nos ressources sont actuellement insuffisantes pour organiser une telle chose.
Le président du Groupe d'Utilisateurs Linux de l'Université de Sherbrooke (GULUS), Mathieu Lutfy, a proposé par courriel de mettre en place une liste de diffusion destinée aux communications entre les LUGs du Québec. L'idée est acceptée à l'unanimité, et on créera "lugs à linux-quebec.org".
Nicolas note que plusieurs personnes ont écrit aux organisateurs pour les informer de la pauvreté des sections Éducation, et Gouvernement. Maxime, s'étant précédemment proposé pour maintenir ces sections, affirme qu'il a toujours l'intention de s'en occuper.
Maxime lance avec un air amusé de se donner comme objectif d'être encore là à la fin de l'année. Nicolas mentionne le signet des LUGs, qui devrait être réalisé en 2003. Marco propose d'attirer davantage de gens sur le site web et les forums, qui sont, à ses dires, déjà très fréquentés, mais qui auraient avantage à être utilisés un peu plus. Yanick propose de trouver un lieu stable pour tenir des réunions, que ce soit les réunions à caractère organisationnel de Linux-Québec, que les réunions informelles que sont les Linux Meetup. Selon lui, le meilleur choix serait un café avec bonne ambiance. Marco propose également d'attirer un ou deux autres organisateurs au noyau, afin d'assurer une relève et de rendre l'organisation plus dynamique.
La tenue récente d'une présentation sur Jabber, ainsi que l'installation d'un serveur Jabber sur le serveur de Linux-Québec amène la suggestion de soutenir officiellement le protocole Jabber, en poussant son utilisation. Nicolas propose d'ajouter un encadré à la page principale du site web, expliquant ce qu'est Jabber, et informant de la présence d'un serveur Jabber chez Linux-Québec.
Maxime mentionne que lors d'une réunion antérieure, il avait été proposé de maintenir une liste de fournisseurs d'accès internet (FAI) supportant Linux. Nicolas propose de créer une page Wiki où les visiteurs pourront ajouter des FAI ainsi que des remarques.
Marco ne pouvant pas encaisser le chèque envoyé par Lévinux, il expose sa préoccupation. Maxime propose d'essayer d'ouvrir un compte bancaire au nom de Linux-Québec, même s'il ne s'agit pas encore d'un organisme à but non lucratif. Marco endosse le chèque et le confie à Maxime, qui l'encaissera dans ce compte, ou dans son compte personnel s'il ne peut ouvrir de compte au nom de Linux-Québec, dans quel cas il redonnera l'argent (en liquide) à Marco.
Maxime fait état de la situation chez Option Consommateurs. Les deux serveurs Linux installés font bien le travail. Étant donné que les machines clientes sont encore sous Windows, un besoin criant pour un antivirus se fait sentir. L'organisme à but non lucratif est ouvert au remplacement des postes Windows par Linux, mais cela ne se fera probablement pas bientôt.
Nicolas propose de bénéficier de la présence continue de Linux-Québec pendant l'année 2002 pour organiser un LinuxFest à Montréal ou à la grandeur du Québec en 2003. Maxime mentionne que les ressources humaines et monétaires de Linux-Québec sont très limités, ce qui empêche l'organisation d'un tel événement. Maxime affirme que le problème principal réside dans la recherche d'une salle où tenir un tel événement. Le GULUS, contrairement à Linux-Québec, est dans une position avantageuse puisque ses organisateurs "vivent" littéralement dans une université déjà dotée de plusieurs possibilités d'hébergement pour ce type d'événement.
L'efficacité de Spamassassin et de Procmail étonnent et soulagent les modérateurs, au point où l'ouverture des forums est proposée. À l'unanimité, les forums general, aide et ecoles ne seront plus modérés. Le forum annonces demeurera modéré.
La réunion se termina à 21h45.
