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L'avocat du diable II



Mais, au moins, chez CAM, au pouvait mettre un nom sur les membres du CA. Ici, il est absolument impossible d'identifier qui exactement prend les décisions au nom de L-Q, d'éventuellement contester ces décisions ou de suggérer d'autres orientations. Peut-on concevoir une structure plus «Big Brother», plus paternaliste et condescendante que celle-là? Est-ce qu'on s'en va vraiment quelque part comme ça?

Je comprends bien que L-Q refuse de s'empêtrer dans la paperasse, seulement on peut constituer un CA sans être obligé de s'incorporer. La seule différence, c'est que L-Q ne pourra pas émettre de reçus pour fins d'impôt pour les dons. Mais L-Q compte-t-il tellement sur les dons pour survivre?

À un moment donné, même les avocats du diable aiment bien voir les choses avancer. Les groupes de discussion, c'est très bien. Seulement, s'il ne servent que d'exutoire aux frustrations face à une structure absolument inacceptable ou à entretenir de menus babillages sur les mêmes maudits problèmes qui reviennent à tout bout de champ, il ne servent absolument à rien.

Quand Charles Levert écrit «Les hautes attentes, c'est bien... tant qu'on aide à les réaliser. (Faire de la paranoïa et du libelle, ça ne compte pas.)» prend-t-il vraiment en ligne de compte le temps que j'ai consacré à L-Q? Est-ce que vraiment mes efforts ne valent pas les siens? Est-ce que les installfesses sont beaucoup plus rentables pour Linux?

Quand on m'a dit «Écris-le, ton didacticiel!», je me suis mis à la tâche. Seulement, je me suis rendu compte que plusieurs grands experts fonctionnent au «trial and error» et qu'ils ne sont plus tout à fait là quand vient le temps de mettre les points sur les %A