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L'avocat du diable II
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- Subject: L'avocat du diable II
- From: A vos Kats <>
- Date: Wed, 8 Mar 2000 21:44:43 -0500
Mais, au moins, chez CAM, au pouvait mettre un nom sur les membres du CA. Ici, il est absolument impossible d'identifier qui exactement prend les décisions au nom de L-Q, d'éventuellement contester ces décisions ou de suggérer d'autres orientations. Peut-on concevoir une structure plus «Big Brother», plus paternaliste et condescendante que celle-là? Est-ce qu'on s'en va vraiment quelque part comme ça?
Je comprends bien que L-Q refuse de s'empêtrer dans la paperasse, seulement on peut constituer un CA sans être obligé de s'incorporer. La seule différence, c'est que L-Q ne pourra pas émettre de reçus pour fins d'impôt pour les dons. Mais L-Q compte-t-il tellement sur les dons pour survivre?
À un moment donné, même les avocats du diable aiment bien voir les choses avancer. Les groupes de discussion, c'est très bien. Seulement, s'il ne servent que d'exutoire aux frustrations face à une structure absolument inacceptable ou à entretenir de menus babillages sur les mêmes maudits problèmes qui reviennent à tout bout de champ, il ne servent absolument à rien.
Quand Charles Levert écrit «Les hautes attentes, c'est bien... tant qu'on aide à les réaliser. (Faire de la paranoïa et du libelle, ça ne compte pas.)» prend-t-il vraiment en ligne de compte le temps que j'ai consacré à L-Q? Est-ce que vraiment mes efforts ne valent pas les siens? Est-ce que les installfesses sont beaucoup plus rentables pour Linux?
Quand on m'a dit «Écris-le, ton didacticiel!», je me suis mis à la tâche. Seulement, je me suis rendu compte que plusieurs grands experts fonctionnent au «trial and error» et qu'ils ne sont plus tout à fait là quand vient le temps de mettre les points sur les %A