Marco demande à quoi servent les réunions, et quelles sont les parties représentées.
Nicolas répond à la question de Marco qu'étant donné l'existence légale de l'AQP3L contrairement à celle de Linux-Québec, le réunions pourront être désignées "conseils d'administration". Maxime ajoute que Linux-Québec, tant qu'il n'y a pas de groupe distinct qui veuille s'en occuper, reste un site web, un outil de l'AQP3L. Robert ajoute que le groupe derrière Linux-Québec a refocalisé ses intérêts.
Maxime propose d'ajouter le logo de l'AQP3L sur le site de Linux-Québec, pour bien montrer qui s'occupe du site.
Quelqu'un demande de clarifier l'utilisation de la liste [email protected], puisqu'il n'y a pas de différenciation entre Linux-Québec et l'AQP3L à ce niveau. Nicolas propose de créer [email protected].
Maxime a commencé un compte-rendu écrit. Il voulait le faire en deux parties: la première sur le "feeling", l'autre plus technique. Il n'a complété que la première partie, qui est disponible sur le site web de l'AQP3L.
Maxime mentionne que l'enregistrement de sa présentation de l'AQP3L n'est pas disponible, et il se donne comme tâche de la demander à Nicolas Couture, qui a découpé en blocs l'enregistrement du congrès.
Renaud mentionne l'aspect "free for all" de l'après-midi. Nicolas soutient en affirmant que le programme n'était pas très strict. Maxime explique qu'au moins, des contacts ont été créés.
Robin affirme avoir tenté de stimuler les discussions qui n'avaient pas pris leur envol. Maxime croit que la diffusion du compte-rendu de cette réunion amènera l'eau au moulin.
Maxime mentionne le dérapage vers une discussion technique. Nicolas souligne que les discussions techniques ont rapidement été redirigées vers une nouvelle liste de discussions: technique à linux-quebec.org.
Robert parle du besoin des gens dans les réunions, qui est simplement de rencontrer des gens, de faire du réseautage, qui est habituellement informel. Robert affirme donc qu'il faut que l'AQP3L favorise les liens entre les utilisateurs de logiciels libres. Yanick rappelle que les présentations technique de Linux-Québec sont un prétexte pour faire ce réseautage. Marco souligne que l'idée d'organiser des débats a malheureusement été abandonnée.
Maxime affirme que le rôle de l'AQP3L n'est pas de faire des InstallFest?, mais plutôt d'aider les GULs? à les faires.
Marco affirme que le succès du congrès est évalué sur la base de l'augmentation de la participation, ce que rejette Nicolas, qui affirme qu'il faut établir des objectifs, des projets, pour pouvoir motiver les gens à participer et ainsi recruter pour des projets précis.
Robert souligne qu'un mandat initial est constitué de voeux pieux, et que l'année suivante, le mandat est révisé en fonction de ce qui a le mieux fonctionné. Il ajoute qu'il ne devrait pas y avoir plus d'un congrès par année.
En réaction au sous-entendu de Robert, voulant qu'on soit obsédé par le mandat, Maxime affirme que "la machine roule déjà", même si on est encore à définir le mandat.
Renaud fait part de sa compréhension de ce qui est ressorti du congrès, à savoir qu'on ne peut pas partir de projets sans avoir de mandat.
Maxime fait une proposition, qui sera bien appuyée. Pour le congrès du 24 janvier, il propose de présenter le mandat à l'avance, pour pouvoir procéder à un vote. S'il recoit un appui majoritaire, il n'y aurait pas de discussions. Dans le cas contraire, les discussions seraient reportées à après le congrès.
Nicolas rappelle les faits: une proposition d'inviter les signataires de la pétition à faire un don à l'AQP3L.
Un vote est fait, et à l'unanimité, la proposition est rejetée.
Le sentiment général est que le lien entre les deux est difficile à faire. Robert affirme également que le financement de l'organisation devrait provenir d'abord des cotisations des membres.
Maxime amène l'idée d'organiser une "foire" des logiciels libres. Nicolas voit l'événement organisé à l'extérieur. Maxime affirme qu'il serait facile d'avoir des panneaux solaires pour l'alimentation électrique. Robert propose d'utiliser un chanteur comme porte-parole, en lien avec la liberté de partager la musique sans que la distribution soit monopolisée par les compagnies du disque. Nicolas exprime ses réserves quant au lien avec le logiciel libre.
Maxime propose de négocier les droits de diffusion du film Revolution-OS pour quelques cinémas montréalais.
Robin propose de tenir une journée nationale de distribution de CD au grand public. Il pourrait s'agir de Knoppix, Mandrake, ou même EduLinux?, propose Nicolas. Les CD seraient produits en grande quantité, donc à faible coût.
Robert affirme connaître deux personnes des HEC intéressées à participer en tant que conférenciers.
La durée serait d'un avant-midi, et aurait lieu durant la semaine, à Montréal.
Le public cible serait d'abord les entreprises, mais des membres du gouvernement seraient probablement intéresés.
Ce projet ne fut pas discuté en particulier.
Ce projet ne fut pas discuté en particulier.
Robin demande si l'infrastructure actuelle permet de traduire le site de Linux-Québec et de l'AQP3L. Marco répond que Nicolas a trouvé comment le faire pour la pétition SCO vs RBC.
Tous s'entendent pour dire que le porte-parole est actuellement le président, qui est actuellement Maxime. Il n'y a pas de besoin pour un rôle de porte-parole, mais chacun peut faire la promotion de l'AQP3L. Les positions officielles de l'AQP3L sont diffusées sur le site web.
Personne ne s'est proposé pour le faire.
La réunion s'est terminée vers 22h30, avant autant de participants qu'à son début.