|
FAQ
|
Sources d'informations
|
|
Comment lire les "man pages" ? |
|
Si vous avez besoin de consulter un "man" (manuel d'instructions) pour connaître le fonctionnement d'une commande ou d'un programme, vous pouvez le consulter avec un éditeur de texte en mode console comme vim. Toutefois pour certains, la lecture des caractères d'une console est plus pénible. Si vous voulez lire un man et que vous utilisez l'interface graphique KDE, vous n'avez qu'à mettre en url, man:/"le nom du man voulu" (sans les guillemets) dans le navigateur Konqueror et il sera affiché comme une page web.
|
|
Où puis-je obtenir de l'aide rapidement ? |
|
Il existe plusieurs places ou l'on peut obtenir de l'aide rapidement:
Guide de survie sous Linux
Guide utilisateur de logiciels libres du gouvernement québécois
- Google Linux
- Google est l'une des plus grande base de données au monde. Il ne se contente pas de répertorier les sites qui leurs sonts soumis mais aussi tous les liens que ceux-ci contiennent. Il est donc l'un des meilleurs outils pour faire la recherche d'aide et encore plus.
- Les Forums de discussions
- Il existe plusieurs forums de discussions et d'aide qui traitent linux. Linux-Quebec offre actuellement un groupe d'aide, un groupe d'annonces et deux groupes de discussion.
- Les Groupes Quebecois
- Les Groupes Francais
- Les Groupes Anglophones
- Les Archives d'Aide
- Les archives du forum Aide de Linux-Quebec contiennent un bon nombre de discussion très enrichissantes. N'obliez pas que la majoritee des problemes que vous rencontrez ont déja été rencontrés par d'autres utilisateurs et dans le monde du logiciel libre, qui dit rencontré dit réparé.
- IRC
- Il y a deja plusieurs reseaux irc qui maintiennent des canaux de discussions et d'aides GNU/Linux. Cependant je recommende fortement le reseau Freenode (irc.freenode.net) qui contient non seulement des canaux reliés a GNU/Linux mais est entierement consacré à l'opensource. Pour vous connecter, vous devrez installer un client irc soit:
- xchat (Graphique)
- irssi (Texte)
- gaim (Avec le module libirc.o)
Visitez #Linux-Quebec
|
|
|
|
Applications
|
|
Comment trouver une application spécifique ? |
|
Si par exemple vous recherchez un logiciel pour lire votre courriel, ou pour gérer vos finances, la première chose à faire est de faire une recherche sur les sites de Freshmeat. Aussi, le site LinuxApps.com, avec sa catégorie "best rated" est à essayer.
|
|
Comment trouver un paquet RPM spécifique ? |
|
En se basant sur le nom ou la fonction du programme que vous désirez trouver, vous pouvez effectuer des recherches sur les sites suivants:
Freshrpms
Rpmfind
RPM Pbone
|
|
|
|
Installation
|
|
Comment installer GNU/Linux à partir d'une image ISO ? |
|
La façon la plus répandue est de graver l'image sur CD. Une fois gravée, il est normalement possible de démarrer l'ordinateur à partir du CD.
Une autre méthode consiste à mettre l'ISO dans une partition qui sera accessible lors de l'installation. À ce niveau, il y a deux possibilités: la placer dans un système de fichiers, ou directement dans la partition. Notez que ces deux méthodes ne sont conseillées qu'à des personnes ayant un minimum d'expérience avec fdisk ou parted, et grub ou lilo.
Si l'image est placée dans un système de fichiers, vous devez vous assurer que le type de système de fichiers sera lisible lors de l'installation (module de noyau). Toutefois, avec cette méthode, vous devrez "monter" l'image en mode "loopback", ce qui n'est pas nécessairement disponible à cette étape de l'installation. Enfin, si le programme d'installation de la distribution Linux que vous installez requiert un accès direct au device (genre /dev/hdc), vous êtes cuits (je crois).
Si l'image est placée directement dans une partition, vous évitez le besoin de lire un système de fichiers, de même que celui de monter la partition en loopback.
Graver une image
Sous Windows, vous pouvez utiliser par exemple Easy CD Creator (Adaptec) ou Nero Burning Room.
Sous Linux, il suffit d'avoir le programme cdrecord. Il vous faut trouver l'identifiant de votre graveur avec "cdrecord -scanbus". Dans mon cas, je fais ceci:
nicolas@cortex:~$ cdrecord -scanbus Cdrecord 1.10 (i686-pc-linux-gnu) Copyright (C) 1995-2001 Jörg Schilling Linux sg driver version: 2.1.39 Using libscg version 'schily-0.5' scsibus0: 0,0,0 0) 'HP ' 'CD-Writer+ 8100 ' '1.0g' Removable CD-ROM 0,1,0 1) * 0,2,0 2) * 0,3,0 3) * 0,4,0 4) * 0,5,0 5) * 0,6,0 6) * 0,7,0 7) *
L'identifiant de mon graveur est donc "0,0,0". Supposant que le fichier ISO à graver s'appelle "image.iso", faites ceci pour la graver:
cdrecord -v -eject speed=1 dev=0,0,0 image.iso
Dans mon cas, la vitesse de gravure sur CD non-réinscriptible est 4X, et 2X sur support ré-inscriptible. Je mettrais donc plutôt "speed=4" ou "speed=2". Le "-eject" va faire en sorte que le CD va sortir du lecteur comme si c'était un grille-pain ;)
Si vous tenez à ne pas gaspiller de CDs, vous pouvez ajouter l'option "-dummy" pour faire une gravure en mode de test. Rien ne sera écrit sur le CD, ce qui permet de tester entre autres que le taux de transfert entre le disque dur et le graveur est suffisant pour la vitesse de gravure sélectionnée.
Placer une image dans un système de fichiers
Placez le fichier ISO dans une partition qui sera accessible lors de l'installation. De préférence, il s'agira d'une partition de type ext2, pour maximiser les chances qu'elle puisse être lue lors de l'installation.
Pour installer, créez les disquettes d'installation, et démarrez l'ordinateur avec celles-ci. Une fois que vous avez une ligne de commande, vous allez tenter de monter la partition qui contient l'image ISO. Ça pourrait ressembler à ceci si la partition est /dev/hdc3, et qu'elle est de type ext2:
mkdir /partition mount -t ext2 /dev/hdc3 /partition
Vous pouvez essayer d'omettre "-t ext2", pour voir si le noyau va détecter le type automatiquement.
Maintenant que la partition "hôte" est montée, il faut monter l'image ISO:
mkdir /image mount -o loop /partition/repertoire/image.iso /image
Placer une image dans une partition
Vous devez tout d'abord trouver ou créer une partition qui a au minimum la taille de l'image ISO (fdisk et/ou parted sont vos amis!). La partition qui accueillera l'image ISO sera complètement écrasée, alors faites attention de ne pas perdre de données. C'est aussi une bonne idée de démonter (umount) la partition avant d'aller plus loin.
Supposant que votre fichier ISO s'appelle "image.iso" et qu'il est dans le répertoire courant, et que votre partition cible est /dev/hdc, faites:
dd if=image.iso of=/dev/hdc
Voilà! Vous pouvez tester l'image en faisant ceci:
mkdir test mount -t iso9660 /dev/hdc test
Maintenant, vous pouvez soit créer les disquettes d'installation pour votre distribution, soit tenter de booter directement à partir de la partition qui contient l'image, en configurant Lilo ou Grub.
Dans le cas de Lilo (/etc/lilo.conf), j'essaierais ceci:
other=/dev/hdc label=iso
Faites- part de vos commentaires!
|
|
Où télécharger le minimum pour installer GNU/Linux ? |
|
Sur les sites ftp de redhat (ftp.redhat.com), debian (ftp.debian.org), on peux aussi le télécharger en choisissant une distribution à ftp://metalab.unc.edu/pub/Linux/distributions/ et plusieurs autres endroits.
|
|
Où puis-je me procurer GNU/Linux ? |
|
Le système d'exploitation GNU/Linux est disponible de plusieurs façons. La plus simple est de trouver un magazine venant avec un CD gratuit, ou une boutique informatique vendant un CD de GNU/Linux, qui inclut souvent un manuel d'instructions.
De plus, il est également possible de télécharger une distribution de GNU/Linux sur internet. Le grand désavantage, c'est la durée du téléchargement, surtout si vous n'avez pas accès à une connection haute vitesse. En moyenne, une distribution fait de 300 à 650 méga-octets minimum, ce qui est passablement lourd.
La façon la plus facile d'obtenir GNU/Linux de cette façon est de télécharger une image ISO d'un CD, puisqu'il ne faut télécharger qu'un seul gros fichier. Ensuite, une fois sur votre disque dur, il est possible de graver un CD à l'aide de cette image.
Une autre façon d'installer GNU/Linux à partir d'une image ISO consiste à y accéder durant l'installation. Cette méthode évite d'avoir à graver un CD, mais est un peu plus compliquée. En résumé, il s'agit soit d'accéder à l'image ISO en "loopback", soit en écrivant l'image directement sur une partition inutilisée du disque dur. (Des instructions plus détaillées seront bientôt ajoutées.)
|
|
Quelle distribution de GNU/Linux choisir ? |
|
Tout dépend de l'utilisation que vous allez en faire, ainsi que de votre niveau de connaissances techniques. Les débutants préfèrent Mandrake, RedHat, et Suse. Autrement, vertains préfèrent Debian et Slackware.
En fait, le nombre de distributions GNU/Linux est passablement grand. Il existe plusieurs sites web contenant des comparaisons, comme celui du Linux Documentation Project. Une liste de presque toutes les distributions est disponible sur le site de Linux Online.
|
|
|
|
Introduction
|
|
Qu'est-ce que GNU/Linux ? |
|
Au sens strict, GNU/Linux est le noyau d'un système d'exploitation, et a pour tâche de gérer l'accès aux ressources d'un ordinateur, pour des utilisateurs et programmes. Au sens large, GNU/Linux est un ensemble composé d'un noyau et de logiciels, regroupé sous forme de distribution.
Ce qui distingue GNU/Linux des autres systèmes d'exploitation est principalement la façon dont les doits d'auteurs sont exprimés. GNU/Linux est protégé par la GNU General Public License. Cette licence fait en sorte que GNU/Linux est composé de logiciels libres, dans le sens de liberté. Vous êtes libres de l'utiliser, d'en étudier le fonctionnement (l'accès au code source est obligatoire), de le redistribuer, et de l'améliorer.
C'est Linus Torvalds qui a écrit les premières lignes de code du noyau GNU/Linux, en 1991, alors qu'il était étudiant. En se basant sur MINIX, Torvalds publia pour la première fois le code source de GNU/Linux le 5 octobre 1991.
Vous trouverez davantage d'information sur GNU/Linux en accédant à:
|
|
Quels sont les avantages d'utiliser GNU/Linux ? |
|
1. Le code source de GNU/Linux est librement distribué
Des dizaines de milliers de programmeurs ont passé en revue le code source pour améliorer sa performance, pour éliminer les défauts, et pour renforcer sa sécurité. Aucun autre système d'exploitation n'a jamais subi ce niveau de révision. Cette conception ouverte du code source a créé la plupart des avantages énumérés ci-dessous.
2. GNU/Linux a le meilleur support technique disponible
GNU/Linux est supporté par des distributeurs commerciaux, des conseillers, et par une communauté très active d' utilisateurs et de développeurs. En 1997, la communauté GNU/Linux a gagné le prix d'InfoWorld pour le meilleur support technique, au-dessus de tous les constructeurs commerciaux de logiciel.
3. GNU/Linux n'appartient à personne et à tous.
La disponibilité du code source signifie que chaque utilisateur et fournisseur de support peux résoudre les problèmes techniques rapidement et pertinemment. Ceci diffère des systèmes d'exploitation propriétaires, où même les fournisseurs de support de haut niveau doivent s'en remettre au constructeur du système pour des difficultés techniques et anomalies.
4. GNU/Linux fonctionne sur un éventail de matériel.
La plupart des systèmes GNU/Linux sont basés sur le matériel d'un PC standard, et GNU/Linux supporte un éventail de pièces pour le PC. Cependant, GNU/Linux supporte aussi un grand nombre d'architectures, y compris alpha, Power PC, 680x0, SPARC, et Strong Arm, et des PDAs (tel PalmPilot) aux super-ordinateur de plusieurs PC mis en réseau (Beowulf cluster).
5. GNU/Linux est exceptionnellement stable.
Correctement configurés, les systèmes GNU/Linux fonctionneront généralement jusqu'à ce que le matériel échoue ou que le système soit arrêté. Les records de centaines de jours sans redémarrer (jusqu' à une année ou plus) ne sont pas rares.
6. GNU/Linux a les outils et les applications dont vous avez besoin.
Des programmes, s'étendant du serveur web comme l'excellent Apache à l'éditeur de graphiques puissant GIMP, sont inclus dans la plupart des distributions GNU/Linux. Toutes les applications commerciales et libres répondent aux besoins de chacun.
7. GNU/Linux est flexible et fonctionne avec plusieurs autres systèmes d'exploitation.
GNU/Linux communique en utilisant les protocoles de réseau des systèmes d'Unix, de Windows 95/NT de Microsoft, d'IBM OS/2, de Netware, et Macintosh AppleTalk et peut également lire et écrire des disques et des partitions de ces derniers et d'autres systèmes d'exploitation.
8. GNU/Linux ne coûte pas cher.
Bien que l'apprentissage de GNU/Linux demande un peu d'effort pour le moment, sa stabilité, sa conception, sa licence GPL et le grand nombre d'outils disponibles, font de GNU/linux un système peu coûteux, et qui peut même être obtenu gratuitement!
|
|
Qui peut utiliser GNU/Linux ? |
|
Tout le monde qui possède un Mac ou un PC. Cependant il faut un minimum de connaissances en informatique pour utiliser GNU/Linux. Même les meilleures distributions ne sont pas encore au niveau de Windows pour la facilité d'installation. Parfois tout marche comme sur des roulettes le premier coup, parfois il faut chercher un petit peu pour que ça fonctionne. De même, il est important de savoir que vous n'avez pas besoin d'une bête de course pour installer un système GNU/Linux sur votre ordinateur. Un simple processeur à 233Mhz et parfois moins sera suffisant avec un système minimal mais fonctionnel. Cependant pour avoir le confort nécessaire à une utilisation quotidienne, un processeur à 400 Mhz et + est conseillé ainsi que 64 mégaoctets de mémoire pour certaines interfaces graphiques et programmes particulièrement exigeants.
|
|
Comment débuter avec GNU/Linux ? |
|
GNU/Linux est un système d'exploitation issu de la lignée Unix, qui a été normalisée sous le nom de POSIX par les organismes internationaux. Il est disponible gratuitement, avec le code source, sous une licence qui garantit qu'il continuera à l'être, ainsi que tous les ajouts qui lui sont apportés. Le nombre d'utilisateurs de GNU/Linux, et de fonctions et programmes qui sont développés pour GNU/Linux, connaissent une croissance fulgurante.
Le problème n'est pas de trouver de la documentation, comme en témoignent la liste de livres et de liens proposés sur le site de Linux Québec, mais plutôt de savoir où démarrer. Outre le site de Linux Québec, le site de l'Association Francophone des Utilisateurs de Linux est un bon point de départ pour l'information en langue française. En anglais, le site www.linux.org est un excellent point d'entrée.
L'installation de GNU/Linux se fait normalement à partir d'un assemblage de logiciels, appelé distribution, créé par une compagnie (e.g. Red Hat) ou un groupe (e.g. Debian). Elles sont disponibles sur CD-ROM en magasin ou directement sur l'internet. Les distributions qui sont disponibles sur l'internet se retrouvent souvent sur des CD-ROM offrant des recueils de logiciels; InfoMagic, par exemple, offre un coffret de CD-ROM avec les distributions Red Hat, Debian et Slackware.
Les distributions contiennent pour la plupart les mêmes logiciels. Certaines peuvent utiliser des versions plus récentes de quelques semaines du noyau GNU/Linux ou des programmes et librairies, ou contenir quelques logiciels en plus ou en moins. Les guides et logiciels d'installation diffèrent d'une distribution à l'autre. Pour un débutant, il est conseillé de choisir une distribution utilisée par des gens dans son entourage, qui sont susceptibles de l'aider en cas de pépin.
Une fois la distribution choisie, il faut s'assurer d'avoir un ordinateur dont le matériel est supporté. Même si la plupart du matériel est supporté par GNU/Linux, la variété de périphériques est telle que certains ne sont pas supportés parce que très peu répandus, parce que le manifacturier refuse de divulguer toute information technique, ou parce que le périphérique est tout nouveau et le pilote le supportant dans GNU/Linux n'est pas prêt. Chaque distribution contient de l'information détaillée sur le matériel supporté et sur la procédure d'installation. Les groupes locaux d'usagers GNU/Linux peuvent aussi vous aider pour installer GNU/Linux.
Il reste finalement le choix des logiciels. Les groupes ou compagnies qui produisent les distributions ont déjà fait le travail de chercher les logiciels gratuits qui sont disponibles. Il se peut cependant qu'ils n'aient pas inclus certains logiciels parce que trop spécialisés, ou parce qu'ils sont encore en développement et ont jugé qu'ils n'étaient pas prêts pour l'utilisateur moyen, au moment où ils ont assemblé cette version de la distribution. Les sites comme www.linux.org maintiennent des liens vers des répertoires de logiciels disponibles.
Parmi les nombreux documents disponibles, mentionnons le guide du ROOTard qui est un excellent document d'introduction, le Distribution-HOWTO qui discute de tout ce qui touche les distributions, et finalement le French-HOWTO qui discute comment configurer GNU/Linux pour travailler en français. Le document sur l'utilisation des touches mortes sous X11 propose une méthode pour forcer les applications X11 à accepter correctement les caractères accentués, même si elles omettent de faire les appels normalement requis.
|
|
|
|
Linux au Québec
|
|
J'utilise RedHat 8 et j'ai des problèmes avec les caractères accentués. |
|
Pierre Sarrazin a dévoilé comment il a réglé son problème.
|
|
|
Clavier québécois
|
|
Comment avoir un clavier québecois dans Gnome ? |
|
Cliquez sur le menu, allez dans: Tableau de bord --> Ajouter au tableau de bord --> Applet --> Utilitaires --> Sélecteur de clavier GKB.
Un drapreau américain va apparaître sur le tableau de bord. Avec le bouton droit de votre souris, cliquez sur le drapeau américain et choisissez l'option Propriétés. Cliquez sur Ajouter, choisissez votre clavier. Le clavier québécois est dans Français --> Canada. Vous pouvez supprimer les autres claviers.
|
|
Comment avoir un clavier québécois dans XFree86 ? |
|
Xmodmap.cf x86 et Xmodmap.cf PPC sont des fichiers qui en remplacant le clavier US vont vous permettre d'avoir un clavier normal (fr_CA CSA) dans toutes les applications de gnome/kde/netscape, etc...Pour le rendre actif globalement il suffit sous redhat de le placer dans /etc/X11/xinit/.Xmodmap (".Xmodmap" étant le nouveau nom du fichier).
À l'aide de votre éditeur de texte préféré, ouvrez (en étant l'usager root) le fichier /etc/X11/XF86Config (pour Xfree 3) ou /etc/X11/XF86Config-4 (pour Xfree 4), cherchez la ligne XkbLayout.Vous devez y mettre l'option "ca_enhanced".
Donc cela donnerait ceci:
- Dans Xfree 3
XkbLayout "ca_enhanced"
- Dans Xfree 4
Option "XkbLayout" "ca_enhanced"
|
|
Comment avoir un clavier québécois en mode console ? |
|
Il faut utiliser la commande "loadkeys cf"
|
|
Comment avoir un clavier québécois dans KDE ? |
|
Il faut malheureusement procéder manuellement à l'activation d'un clavier distribué arc XFree86:
- devenir root (su)
- cd /usr/X11R6/lib/X11/xkb/symbols
- ln -s ./ca_enhanced fr_CA
- cd /usr/X11R6/lib/X11/rules
- Modifier xfree86.lst et ajouter (n'importe où) la ligne "fr_CA Canadian French"
- Démarrer l'outil de configuration kxkb (par le centre de contrôle KDE), et trouvez le nouveau clavier.
NOTE: sous Suse on trouve tout sous /etc/X11/xkb/symbols et /etc/X11/xkb/rules
|
|
Quelles sont les distributions qui configurent correctement le clavier québécois ? |
|
- Mandrake (7.0 et +)
- Clavier québecois en mode console configuré
- Clavier québecois en Xfree configuré
- Redhat (7.3 et +)
- Clavier québecois en mode console configuré
- Clavier québecois en Xfree configuré
- Debian ( 2.0 et + )
- Clavier québecois en mode console configuré
|
|
|
|
Configuration internet haute vitesse
|
|
Comment configurer un modem câble Vidéotron ? |
|
À venir
|
|
Comment configurer Sympatico Haute Vitesse ? |
|
IMPORTANT: Cette documentation n'est pas à jour!
Assumons que vous avez Redhat > 5.1 ou Debian 2.0:
Rajoutez la ligne "alias eth0 ne2k-pci" dans le fichier /etc/conf.modules. Ainsi vous aurez un adapteur pour que la connection soit établie (Équivalent de "démarrer un pilote" sous Windows).
Ensuite, pour partir comme tel la connection, l'outil le plus simple est linuxconf. Dans la section:
configuration -> Réseau -> tâches clientes -> configuration de base de la machine
Nom de la machine: localhost.localdomain (ça c'est pas trop important)
[ X ] Activer Mode de configuration => DHCP
Interface réseau: eth0
Module noyeau: ne2k-pci -> Accepter -> Act/Changements -> Activer
C'est fini, tout devrait fonctionner. Faire /sbin/ifconfig pour voir si un IP du service internet est venu se rajouter.
|
|
|
|
|
Réseau
|
|
Qu'est-ce qu'un tunnel SSH ? |
|
Lire l'article de Nicolas Marchildon
|
|
Comment partager ma connexion internet entre plusieurs ordinateurs ? |
|
Il faut tout d'abord que la machine linux (la "passerelle") puisse elle-même accéder à internet. p>Ensuite, il vous faut brancher un "client" à la passerelle, en utilisant une carte réseau.
L'installation d'un serveur DHCP sur la passerelle est recommandée.
Une fois que le réseau local fonctionne, il faut configurer la passerelle pour permettre aux clients d'accéder à internet.
echo "1" > /proc/sys/net/ipv4/ip_forward echo "1" > /proc/sys/net/ipv4/ip_dynaddr blah
http://bidon.ca/doc/gateway.html
Voir http://bidon.ca/doc/gateway.html
|
|
Comment puis-je partager ma connexion internet ? |
|
Sous Debian (Woody)
apt-get install iptables apt-get install ipmasq
Liens
Vous pouvez retrouver de l'information sur la page d'Éric Buist.
|
|
Comment installer un serveur DHCP ? |
|
Sous Debian 3.0 (Woody)
apt-get install dhcp
Mettre "INTERFACES="ethX" dans "/etc/default/dhcp", où ethX est le nom de l'interface à laquelle est connecté le réseau "client".
Démarrer le service: "/etc/init.d/dhcp start".
|
|
Comment utiliser des clées ssh ? |
|
Sur la machine cliente, créez une paire de clefs en exécutant:
ssh-keygen -t dsa
Il vous faudra alors donner un mot de passe pour protéger votre clef nouvelle privée. Il est possible de créer une clée sans mot de passe, mais toute personne ayant les permissions nécessaires pour lire le fichier de la clef privée pourra l'utiliser sans restriction. Si vous décidez de ne pas protéger votre clef privée avec un mot de passe, soignez très bien les permissions de ce fichier (avec chmod et chown ).
Une fois la paire de clefs générée, vous aurez deux nouveaux fichiers dans le repertoire ~/.ssh, soit id_dsa et id_dsa.pub . Pour vous permettre d'établir une session shell securisée sans mot de passe, vous devrez maintenant fournir votre clée publique (id_dsa.pub ) au serveur où vous désirez vous connecter. Pour ce faire, il suffira d'utiliser scp comme ceci:
scp ~/.ssh/id_dsa.pub usager@machine:~/.ssh/authorized_keys2
Notez que ssh est très strict quant aux permissions des fichiers. Par exemple, le fichier authorized_keys2 ne doit être accessible en écriture qu'à vous seul.
Maintenant que la machine distante acceptera d'ouvrir une session au détenteur de la clef privée (votre machine cliente), vous utiliserez ssh-agent sur votre machine cliente pour déverrouiller et garder votre clef privée en mémoire:
ssh-agent bash
ssh-add
Si vous n'aviez pas protégé votre clef privée d'un mot de passe, tout devrait se faire sans questions. Autrement, le mote de passe protégeant votre clef privée vous sera demandé.
Vous devriez maintenant être capable d'accéder à la machine distante sans avoir à entrer aucun mot de passe, votre "agent" s'occupant de l'authentication:
ssh mamachine
|
|
|
|
Utilisation
|
|
Comment mettre un paquet RPM à jour proprement ? |
|
La mise à jour d'un programme en format .rpm peut parfois être pénible. C'est là que la commande urpmi peut vous simplifier les choses. Bien entendu, il vous faut une connexion Internet active. Téléchargez le paquet à mettre à jour et en mode console root vous n'avez qu'à taper: urpmi "le nom exact du paquet" (sans les guillemets). En principe, la commande va récupérer toutes les dépendances et mettre le système à jour sans que vous ayez à télécharger et installer manuellement de nombreux autres paquets.Si un problème majeur survenait parce que votre distribution demande une très grosse mise à jour, urpmi vous demandera s'il peut continuer ou pas. Surtout, ne tentez pas de mettre à jour un paquet qui exige une nouvelle glibc car vous pourriez ruiner tout votre système. La mise à jour de la glibc est très très délicate à réaliser.
|
|
Comment puis-je lire une disquette ? |
|
Le noyau Linux a probablement attribué à votre lecteur de disquettes le fichier /dev/fd0, où /dev est le répertoire standard contenant tous les "devices", et fd0 est le premier "Floppy Drive". Si vous aviez un second lecteur, il serait accessible par /dev/fd1.
Pour pouvoir lire votre disquette, vous avez le choix d'utiliser mtools ou la commande mount standard.
Les mtools
Les programmes faisant partie de mtools vous permettent d'accéder à votre lecteur de disquettes sans "monter". Parmis les commandes les plus souvent utilisées, on retrouve:
mdir: afficher la liste des fichiers du premier lecteur;
mformat: bâtir un système de fichiers MSDOS
mmove: déplacer un fichier
mcopy: copier un fichier
Mount!
L'alternative à mtools est la façon la plus générique "d'attacher" des systèmes de fichiers étrangers au système de fichier existant. Un système de fichiers peut être vu comme un arbre où les branches représentent les répertoires, et les feuilles, les fichiers. L'opération de montage consiste à attacher la racine (le tronc de l'arbre) d'un système de fichiers étranger à un répertoire existant (une branche):
Pour monter la disquette, il faut choisir un répertoire d'attache dans l'arborescence actuelle. Une fois le montage effectué, ce répertoire représentera la racine de l'arborescence de la disquette. Il est intéressant de noter que si le répertoire d'attache contenait des fichiers, ils ne seront plus visibles après le montage.
Avant d'aller plus loin, pour faciliter les choses, mieux vaut passer en mode super-utilisateur en tapant "su" et en entrant le mot de passe de l'usager "root":
[user@host ~]$ su Password: [root@www2 root]#
Ainsi, pour "monter" votre disquette dans le répertoire d'attache "/floppy", par exemple, il vous faut d'abord vous assurer que "/floppy" existe en faisant:
ls /floppy
Si vous obtenez ceci, c'est que le répertoire n'existe pas et doit être créé:
[user@host ~]$ ls /floppy
ls: /floppy: No such file or directory
Le répertoire peut être créé en faisant:
mkdir /floppy
Une fois certains que le répertoire d'attache existe, vous pouvez effectuer le montage comme suit:
mount /dev/fd0 /floppy
Personne ne doit retirer la disquette pendant que la disquette est "mount"ée. Malheureusement, parce que le hardware PC est cheap, la disquette ne reste pas prise dans le lecteur tant qu'elle n'est pas "umount"ée comme c'est le cas avec du bon hardware. Pour un CD-ROM par contre, ca marche. On peut meme éjecter la disquette avec la commande "eject".
|
|
Comment installer le programme xyz ? |
|
Selon le type de fichier que vous avez récupéré, la méthode est différente. Si l'extension est:
.tar.gz (ou .tar.bz2 ou .tgz)
Ce fichier est une archive compressée qui contient probablement le code source du logiciel, que vous devrez compiler par vous même. En fait, tous les fichiers sont regroupés en un seul, qui porte l'extension .tar Ce fichier est ensuite compressé avec l'utilitaire gzip (s'il porte l'extension.tar.gz) ou bzip2 (pour l'extension .tar.bz2), l'extension .tgz étant un"synonyme" pour .tar.gz Pour décompresser le fichier, on utilise la commande tar de la facon suivante:
$ tar -zxvf MonProgramme.tar.gz
ou
$ tar -jxvf MonProgramme.tar.bz2 selon l'extension.
Les fichiers contenus dans l'archive vont être décompressés et leurs noms affichés à l'écran, incluant le nom du répertoire qui a été crée. Pourcompiler le programme, entrer dans le répertoire crée, avec la commande "cd MonProgramme". Ensuite chercher un fichier qui se nomme readme, ou INSTALL, ou bien un nom approchant. Lire attentivement ce fichier, il contient les instructions pour compiler et installer le programme.
.rpm
Ce genre de fichier est appelé un "paquetage" car il contient toutes les informations utiles pour installer le programme automatiquement (c'est-à-dire les fichier source et généralement un script d'installation automatique).Pour installer un tel fichier, utiliser la commande:
$ rpm -ivh MonProgramme.rpm pour une première installation
ou
$ rpm -Uvh MonProgramme.rpm pour une mise à jour du paquetage (U = upgrade)
Note: rpm (pour Red Hat Package Manager) est l'utilitaire de gestion des paquetages utilisé dans différentes distributions Linux. Outre les options mentionnées ci-dessus, de nombreuses autres sont disponibles. Pour plus d'information: man rpm
.deb
Autre type de paquetages, proposé par la distribution Debian (d'oul'extension .deb) On utilise l'utilitaire apt-get pour gérer les packages debian. Par exemple:
apt-get install tuxracer installe le package appelé tuxracer. A noter que le programme apt-get est assez intelligent pour installer tous les paquets nécessaires si des dépendances existent entre différents paquets, et ainsi détecter les éventuels conflits lors de l'installation.
.bin
Certains logiciels sont livrés sous forme de fichiers portant l'extension.bin Ils contiennent généralement seulement les fichiers de programmes ainsiqu'un module d'installation (i.e. le code source n'est pas disponible) Pour installer ce type d'application, il suffit de marquer ce fichier comme exécutable et de l'éxécuter. Par exemple:
$ chmod +x so-5_2-ga-bin-linux-fr-000.bin # Change l'attribut du fichier
$./so-5_2-ga-bin-linux-fr-000.bin # Exécute le fichier
|
|
Comment accèder aux fichier présents sur une partition Windows ? |
|
Il suffit d'ajouter l'option "codepage=863" lors du montage:
mount /mnt -o codepage=863,iocharset=iso8859-1
|
|
Comment utiliser cron ? |
|
site CCM
|
|
|
|
Périphériques
|
|
Comment configurer un scanner USB ? |
|
J'ai installé une Debian potato puis ai migré vers une woody. Noyau 2.2.19
Je n'ai pas recompilé donc l'usb est en module.
Le scanner est un Scanner EPSON Prefection 640U
Principale source : http://www.freecolormanagement.com/sane/usb_scanner.html
1 - Inserer le premier module
marco@debian$$insmod usbcore
2 - Inserer le deuxième module
marco@debian$$insmod usb-ohci (ou uhci, je ne peux pas donner de précision la dessus, moi ça marche avec ohci...)
3 - Créer le Device
marco@debian$$mknod /dev/scannerusb0 marco@debian$$chmod 666 /dev/scannerusb0
(ou comme le précise yannick chmod 660 et se mettre dans le groupe du fichier /dev/scannerusb0)
4 - Monter usbdevfs
marco@debian$$mount -t usbdevfs usbdevfs /proc/bus/usb/
5 - Insertion du module "scanner"
marco@debian$$insmod scanner vendor=0x04b8 product=0x010c
Là vous entrez ce que vous trouvez par la commande:
marco@debian$$cat /proc/bus/usb/devices
qui vous donne vendor et productID... ATTENTION!: chez moi il ne me donne que les 4 derniers caractères donc :
vendor=04b8 et productID=010c
Il a fallu que je fouille pour comprendre qu'il fallait rajouter 0x avant ces 4 caractères... hmmm ;)
6 - Configuration des fichiers
C'est là que la règle de Debian GNU/Linux qui consiste à mettre tout les fichiers de config dans /etc est vraiment pratique. J'ai remarqué dans mes recherches des emplacements assez exotiques suivant les distributions...
/etc/sane.d/epson.conf
Commenter la ligne qui parle de scsi et décommenter celle qui parle d'usb -------- Pour completer écrivez à
|
|
Comment faire fonctionner mon matériel abc ou xyz ? |
|
Pour tout type de matériel (carte de son, imprimante, carte vidéo), un pilote (ou "driver") a été écrit, souvent non pas par le manufacturier lui-même, mais par la communauté. Ce pilote permet au noyau Linux d'accéder aux fonctions du matériel en question.
Il vous faut donc d'abord trouver ce pilote, puis l'installer. La majorité des pilotes sont distribués avec le noyau Linux, mais certains n'y sont pas encore intégrés ou sont fournis pré-compilés par la compagnie qui a fabriqué le matériel.
S'il s'agit d'une carte PCI ou d'une composante de la carte mère, vous pouvez jeter un coup d'oeil au résultat de la commande "lspci". Voici un exemple de sortie:
00:00.0 Host bridge: VIA Technologies, Inc. VT8363/8365 [KT133/KM133] (rev 02) 00:01.0 PCI bridge: VIA Technologies, Inc. VT8363/8365 [KT133/KM133 AGP] 00:07.0 ISA bridge: VIA Technologies, Inc. VT82C686 [Apollo Super South] (rev 22) 00:07.1 IDE interface: VIA Technologies, Inc. Bus Master IDE (rev 10) 00:07.2 USB Controller: VIA Technologies, Inc. UHCI USB (rev 10) 00:07.3 USB Controller: VIA Technologies, Inc. UHCI USB (rev 10) 00:07.4 Host bridge: VIA Technologies, Inc. VT82C686 [Apollo Super ACPI] (rev 30) 00:0b.0 Ethernet controller: Intel Corp. 82557 [Ethernet Pro 100] (rev 08) 00:0d.0 VGA compatible controller: nVidia Corporation Riva TnT [NV04] (rev 04) 00:0f.0 Multimedia audio controller: Creative Labs SB Live! EMU10k1 (rev 08) 00:0f.1 Input device controller: Creative Labs SB Live! (rev 08)
Si on cherchait à faire fonctionner la carte de son, par exemple, il suffirait de rechercher "Live" ou "EMU10k1" sur un des sites suivants:
- Linux Hardware Database
- Linux Compatible
- Mandrake Linux Hardware Database
- RedHat Hardware Compatibility List
- Google
Bien souvent, il ne vous faut que connaître le nom du module à insérer dans le noyau, et exécuter "modprobe NomDuModule".
Pour terminer, les liens suivants méritent d'être consultés:
- The Hardware Identification HOW-TO
- Linux Printing
- Linux USB
- Linux Network Drivers
- Colas Nahaboo X mouse wheel scroll page
|
|
Comment installer un modem câble en USB |
|
Voir http://lea-linux.org/hardware/modem-cable-USB.php3
|
|
|
|
|